Les nouveaux coureurs

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Aujourd'hui dans ma tête, il y a...
... Mes amis, les nouveaux coureurs :-) Je vois de plus en plus de personnes s’intéresser à la course à pieds ou désireuses de se mettre à un sport. La faute à notre alimentation, trop riche, notre mode de vie, trop sédentaire… et les nombreux cas d’AVC qui touchent de plus en plus de jeunes. Alors, dégager les voies sanguines est une bonne chose. Comme je suis passé par la case « nouveaux coureurs », j’aimerais partager certains indispensables pour bien démarrer :


1. Une bonne chaussure
Trop souvent négligée, c’est pourtant l’un des accessoires les plus importants… sinon le plus important. On a tendance à croire qu’une vieille paire de tennis qu’on n’a pas porté depuis belle lurette ferait l’affaire. Non! Avec une chaussure inadaptée, on court (sans mauvais jeu de mots) vers des blessures et autres lésions musculaires. Cherchez à savoir quel type de coureur vous êtes : pronateur, supinateur ou universel ; et choisissez la chaussure qui vous convient.
Les chaussures que j’utilise sont : Nike free 4.0 V2, Nike Free 3.0 et Nike Lunarglide 3.
 Vous trouverez que cet article est sponsorisé par Nike. A juste titre ! C’est le sponsor officiel de mes footings!


2. Les outils de mesure (ou de motivation)
Le plus difficile quand on commence le sport, c’est de ne pas se laisser décourager. Pour cela, il y a sa propre détermination mais il y a surtout le moyen de « tracker » ses performances. Il faut que vous sachiez ce que vous avez réalisé aujourd’hui pour espérer être meilleur demain. 
- Quelle a été votre vitesse ? Votre rythme ? 
- Quelle distance avez-vous parcouru ? 
Et comme la raison principale du sport est la perte de poids, combien de calories vous avez brûlé ?

Il y a plusieurs outils, rien que chez Nike pour vous aider :
- Un smartphone et l’application Nike+ pour iPhone ou Android. Juste excellente
- Un iPod nano, son podomètre et son application nike+ intégré
- Les Nike SportWatch, SportBand et FuelBand


3. Le parcours de course
On ne devient pas Kenenisa Bekele du jour au lendemain, surtout quand on n’est pas né éthiopien ;-) On ne décide pas d’affronter des pentes à vive allure à sa première ou sa deuxième course sinon, il n’y aura jamais de troisième course ; le découragement aura vite pris le dessus. Le choix du parcours est important dans les performances. Choisissez les routes avec les plates, évitez les pentes abruptement ascendantes tant que vous ne maîtrisez pas encore votre souffle, votre rythme.


4. Les partenaires
Il est parfois plus simple de réussir une course quand on a du soutien. A deux, vous vous encouragez, vous vous soutenez, vous vous tirez vers le haut. L’un peut être fatigué mais en voyant la détermination de l’autre, il finit par trouver les ressources pour aller jusqu’au bout. Mais cela veut dire qu’il faut savoir choisir ses partenaires. 

Choisissez des partenaires du même niveau que vous. Vous n’êtes en compétition avec personne. Vous êtes en compétition avec personne d’autre que vous-même. Tachez de vous dépasser d’abord avant de dépasser les autres. 

Essayez d’être meilleur que la veille. 100 mètres de plus qu'hier est un effort colossal. Ne laissez pas un mauvais partenaire vous dire le contraire.

Voilà qui est une bonne check-list pour démarrer. Mais tout ceci ne vaut pas un clou sans l'essentiel: LA VOLONTÉ  
Une volonté qui doit être accompagnée de discipline. N'écoutez pas vos propres excuses, SORTEZ COURIR!

17 novembre - #Runday

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Aujourd'hui (soir) pendant mon footing, j'ai vu...

...Rien du tout (il faisait noir)
par contre, j'ai entendu:
"Nous n'sommes pas des théoriciens mon frère, nous sommes des pragmaticiens"
A vouloir trop parler français!

En dehors de ça, c'était une petite journée de records avec Nike. (on en reparlera une autre fois)

Pick your battles carefully

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Aujourd'hui dans ma tête, il y a...
... mes deux excellentes lectures du moment: POWER, les 48 lois du pouvoir et STRATÉGIES  les 33 lois de la guerre. Deux livres du très bon Robert Greene.
Il y expose des règles simples pour au moins se prémunir de toutes manipulations si ce n'est prendre l'avantage dans les négociations. Dans les lois de la guerre (comme du pouvoir), il partage des faits historiques qui représentent de belles sources d'inspiration. L'une de ses lois reste quand même surprenante. Pendant que l'essentiel du livre vous enseigne comment mener une guerre victorieuse, une des lois vous rappelle que toutes les guerres ne méritent pas d'être menées.


LA STRATÉGIE DE L'ECONOMIE Nous avons tous nos limites : les talents, comme l’énergie, ne vont que jusqu’à un certain point. Vous devez connaître vos limites et savoir choisir vos batailles. Pensez aux coûts implicites d’une guerre : le temps perdu, les tractations diplomatiques gaspillées, l’ennemi qui voudra se venger. Il vaut mieux parfois attendre (...) au lieu de l’affronter directement.

Un extrait du livre qui me rappelle également l'histoire d'un de mes professeurs en première année ingénieur: la fameuse et redoutable... stratégie de l'abandon. Une stratégie qu'il disait devoir appliquer parfois sans honte (j'insiste) parce que certaines situations exigent de savoir quitter quand rien ne peut être corrigé. 

En résumé, il faut comprendre de ces deux sources que tous les combats ne méritent pas d'être menés, toutes les guerres n'en valent pas la peine. Des fois, refuser la bagarre n'est pas un signe de faiblesse. Et ce n'est non plus pas une preuve de défaite. Dans ces batailles auxquelles vous vous devez de dire NON, vous perdrez beaucoup trop d'énergie. Inutilement.

10 novembre - #Runday

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Aujourd'hui pendant mon footing, j'ai vu...
1- Le siège de la Chambre de Commerce Belge 
Aloooors? Soit les belges ne se prennent pas assez au sérieux ou c'est nous qu'ils ne prennent pas du tout au sérieux. De l'extérieur en tous cas, rien à voir avec le siège de la Chambre de Commerce Française. Eux, se prennent au sérieux (c'est sûr!). Quant à savoir si c'est nous qu'ils prennent au sérieux, on va se reposer la question un autre jour :-) 

2- Un bar au nom très révélateur de "Vin-sur-20"
... Ou "20-sur-Vin". Blanc bonnet ou bonnet blanc. Le fait est que je parierai que c'est la propriété d'un cher frère Baoulé. Vous savez, le genre de Baoulé qui compte de la manière suivante "Un, Deux, Trois ...... Dix-huit, dix-neuf, Vin"

3- Le racisme des bières 
En voyant une affiche de "Number 1" avec la mention "bière blonde", j'ai soudainement eu une révélation (c'est fou ce que la fatigue crée comme hallucinations -_^). Elles sont blondes ou brunes les bières. Bande de noirs nègres à la peau cramée par le soleil, vous comptez combien de blonds ou de bruns parmi vous?

Allez! C'est assez pour aujourd'hui. À parler de belge, français, Baoulé, blond, brun et nègre, vous allez finir par me prendre pour un raciste. Je ne le suis pas (en même temps, il n'y a pas beaucoup de racistes qui reconnaissent qu'ils le sont) mais je suis quand même Baoulé, si cela peut confirmer mon propos. 


À dimanche prochain. (Si mon corps le veut bien!)